•  ET SI J'ALLAIS AU CINÉ CE SOIR ...

     

     « Hippocrate »

    J’aime toujours autant aller au ciné de temps en temps histoire non seulement de me changer les idées mais aussi d’agrandir mes connaissances avec le monde des artistes. Connaitre les acteurs, après avoir apprécié les films dans lesquels ils ont un rôle principal et c’est le cas de Reda Kateb que j’ai trouvé excellent dans «  Hippocrate ».

     Je n’ai pas vu : série  « Engrenages » (2008), «  Un prophète » (2009) , «  Gare du Nord »… en tout 29 films et 2 séries à son actif. Mais j’ai vu « Hippocrate » qui m’a rattaché un peu à mon milieu, mais vu sous une autre facette des médecins celui de l’empathie, de la sensibilité, de l’écoute et de la compréhension comme le fait  Reda auprès des patients dans le rôle d’Abdel un médecin expérimenté relégué au statut d’Interne dans le service du professeur Barois père de son coéquipier Benjamin (Vincent Lacoste). Benjamin qui veut devenir un grand médecin va se confronter à ses limites à ses peurs, les peurs des patients, des familles, celles du personnel, à ses échecs, puis ses doutes… La pratique étant plus difficile que la théorie, les responsabilités  écrasantes créant du stress face à Abdel plus expérimenté que lui qui va l’aider bien que Benjamin soit couvert dans ses erreurs par son père le professeur Barois.

     

     Ce que j’en ai déduit : Ce film est centré sur l’amitié grandissante de deux personnages : Abdel et Benjamin bien que différents dans leur expérience l’un dans l’apprentissage et l’autre très expérimenté par rapport à l’autre et un besoin de la reconnaissance de son diplôme en tant que médecin affirmé. Il n’y a pas de supériorité, ni de combat mais une entraide mutuelle qui se lie menant à l’amitié. Une grande sensibilité du début jusqu’à la fin de ce film autant sur la douleur, l’approche, la compassion du client que le professionnalisme des acteurs intervenants pour certains de l’indifférence à balayer et des coups durs à surmonter.

    Personnellement, un film à ne pas manquer.  

     

     

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     " Qui vive " 

    Parmi les films projetés, Qui vive. Un film de Marianne Tardieu avec Reda Kateb, Adèle Exarchopoulos. L'histoire de Chérif, retourné vivre chez ses parents, et qui peine à décrocher le concours d’infirmier. En attendant, il travaille comme vigile. Il réussit malgré tout les écrits de son concours et rencontre une fille qui lui plaît, Jenny… Mais au centre commercial où il travaille, il perd pied face à une bande d'adolescents désoeuvrés qui le harcèlent. Pour se débarrasser d'eux, il accepte de rencarder un pote sur les livraisons du magasin. En l'espace d'une nuit, la vie de Chérif bascule

    Plusieurs scènes ont été tournées en Bretagne en 2013... 

    Ce que j'en ai déduit:  J'ai beaucoup apprécié Reda dans son rôle de vigile de sécurité qu'il jouait avec sérieux. D'ailleurs c'est un acteur qui se met bien dans la peau du rôle qui lui est attribué avec brio. N'en pouvant plus de se faire harceler par cette bande d'adolescents qui le prennent en chasse constamment tous les jours il prend rendez-vous avec le patron ou le responsable qui l'a engagé pour demander un poste de nuit, le patron bien entendu ne le comprend pas et lui demande de patienté de même qu'il trouve que les retenus sur le bulletin de salaire de Chérif sont  conforment et qu'il s'agit des uniformes qu'il utilise pour son travail.

    Ce film retrace bien les problèmes des citées et ceux existant avec le monde et sur les lieux du travail où la sécurité de l'emploi fragile ne tient que par un fil ( pas droit à l'erreur, la dérive et la tenue du poste qui doit-être irréprochable ). 

     

    *Adèle Exarchopoulos *

     

    En cours de modification, un portrait de mes crayons fera place à l'ancienne photo d'Adèle 


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